Les Préludes du Festival 2024

Aujourd’hui, les Indiens Yawalapiti du Haut Xingu au Brésil,  encouragés par l’équipe de la Fondation ANAKO,  ont décidé de participer par eux-mêmes à la sauvegarde de leur culture et à écrire leur propre mémoire. Ainsi est né le projet initié par Aritana et Pirkuman, les caciques, du tournage de ce film consacré à l’un des rites fondateurs des Yawalapiti: le Kuarup. 
Plusieurs jeunes de la tribu, formées par les auteurs à la prise de vue et au montage ont tourné et réalisé ce documentaire exceptionnel, autour du Kuarup, cérémonie funéraire ancestrale dont les rituels  s’étalent pendant plus d’un an.

Ce film exceptionnel vous propose de partager l’intimité et les rituels fondateurs de l’un des tous derniers peuples de la grande forêt d’Amazonie qui ait su sauvegarder son identité et sa culture unique et de l’accompagner dans les défis qui sont les siens depuis leurs premiers contacts avec le monde “du dehors” jusqu’à nos jours.
Un film de la communauté Yawalapiti et de l’équipe Anako.

Les Baka, les Bakola-Bagyéli ou les Aka font partie de ce grand peuple de chasseurs-cueilleurs itinérants communément qualité de « Pygmées » disséminé dans les forêts équatoriales d’Afrique centrale. Ils sont caractérisés par un mode de vie étroitement lié aux écosystèmes forestiers, pratiquant la chasse, la pêhe et la cueillette. Le film, en partie tournée par la communauté Aka de Kambolé au Congo Brazzaville et par l’équipe Anako au Cameroun, nous raconte le quotidien, la spiritualité mais aussi les défis et les difficiles compromis auxquels sont aujourd’hui confrontées les dernières communautés forestières.
Un film de Ken Ung et Patrick Bernard.

Les grands espaces, la liberté des derniers grands nomades, peuples du renne, du yack, du chameau ou du cheval, ils parcourent les steppes, les Taïgas et les déserts mongols au rythme des saisons. Le film vous invite à partager l’intimité et le quotidien nomade de trois attachantes familles mongoles et tsaatanes restées fidèles au nomadisme, mais aussi à partager avec elles les préparatifs et le grand rendez-vous annuel du Naadam autour des trois grands sports nationaux, la lutte, les courses de chevaux et le tir à l’arc.
un film de Patrick Bernard, Ken Ung et Batpurev Tsendendorj.

Isolés dans l’archipel des Andamans au coeur de l’Océan Indien, au large de la Birmanie et des côtes de la Malaisie, les Jarawa ont refusé tout contact avec le monde du dehors jusqu’au début des années 2000. Le film exceptionnel nous raconte la chronique de la petite tribu d’Ana Manaï, des toutes premières tentatives de contacts au début des années 90 jusqu’à aujourd’hui.

Dans les épais murs de l’ethno-musée Anako, Patrick Bernard nous raconte le quotidien et les traditions des géants du Haut-Nil, réveillant les souvenirs de sa propre expérience, quand, il y a 42 ans, il a mis ses pas dans les leurs pendant 9 mois pour les accompagner au fil de leurs longues transhumances à travers le Suddoud, le grand marécage du Haut-Nil.Depuis 2011, le Sud-Soudan est devenu un état indépendant au terme d’une guerre fratricide entre le nord musulman et le sud animiste ou chrétien. Les images réalisés en 1981 par Patrick Bernard et son équipier Pierre Batigne s’inscrivent aujourd’hui dans les mémoires africaines d’un monde en profonde transformation. Elles resteront le témoignage unique d’un mode de vie nomade et d’un équilibre aujourd’hui profondément bouleversé.de et avec Patrick Bernard.

Les grands espaces, la liberté des derniers grands nomades, peuples du renne, du yack, du chameau ou du cheval, ils parcourent les steppes, les Taïgas et les déserts mongols au rythme des saisons. Le film vous invite à partager l’intimité et le quotidien nomade de trois attachantes familles mongoles et tsaatanes restées fidèles au nomadisme, mais aussi à partager avec elles les préparatifs et le grand rendez-vous annuel du Naadam autour des trois grands sports nationaux, la lutte, les courses de chevaux et le tir à l’arc.

Dans les épais murs de l’ethno-musée Anako, Patrick Bernard nous raconte le quotidien et les traditions des géants du Haut-Nil, réveillant les souvenirs de sa propre expérience, quand, il y a 42 ans, il a mis ses pas dans les leurs pendant 9 mois pour les accompagner au fil de leurs longues transhumances à travers le Suddoud, le grand marécage du Haut-Nil.Depuis 2011, le Sud-Soudan est devenu un état indépendant au terme d’une guerre fratricide entre le nord musulman et le sud animiste ou chrétien. Les images réalisés en 1981 par Patrick Bernard et son équipier Pierre Batigne s’inscrivent aujourd’hui dans les mémoires africaines d’un monde en profonde transformation. Elles resteront le témoignage unique d’un mode de vie nomade et d’un équilibre aujourd’hui profondément bouleversé.de et avec Patrick Bernard.